Stop no bus... Une application pour les talents des différents pays dans le stop motion
Cette thèse analyse les défis contemporains du stop motion dans un contexte de marché audiovisuel dominé par l’animation numérique. En raison de sa matérialité artisanale, le stop motion se distingue par sa texture unique, mais cela implique des processus de production plus lents et plus coûteux, ainsi qu’une difficulté d’accès au financement et à la visibilité internationale
Pour surmonter ces obstacles, la thèse explore une double hypothèse : la coproduction internationale et les outils collaboratifs numériques peuvent favoriser la durabilité et la compétitivité du stop motion.
Le corpus de recherche se compose de deux études de cas : La Traversée (2021) et La Casa Lobo (2018), ainsi que du forum Animarkt, un espace de rencontres et de coproduction pour le stop motion. Ces exemples illustrent comment la coopération internationale permet de partager les coûts, d’accéder à de nouveaux marchés et de mieux distribuer les œuvres à l’échelle mondiale.
La thèse suit une méthodologie de recherche-création qui allie analyse théorique et production concrète. Cela inclut la conception de Stop Motion Bus, une application mobile de « matching » destinée à connecter producteurs, studios et réalisateurs, optimisant ainsi les coproductions transnationales.
la phrase suivante complétée: « Ces travaux sont réalisés dans le cadre d’une thèse intitulée « Stop Motion Bus : Un outil d’analyse et de collaboration pour l’industrie du stop motion contemporaine » financée par moi tout seul » et encadrée par encadrée par Hélène Laurichesse et Bérénice Bonhomme
Ces travaux sont réalisés dans le cadre d’une thèse intitulée « Stop Motion Bus : Un outil d’analyse et de collaboration pour l’industrie du stop motion contemporaine », financée par moi tout seul et encadrée par encadrée par Hélène Laurichesse et Bérénice Bonhomme